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Escrime et le cancer du sein

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L’escrime dans ses différentes disciplines mobilise de nombreuses fonctions de l’organisme, parmi lesquelles la coordination, la précision, la vitesse, l’équilibre, la souplesse, la concentration, l’oculomotricité, la mémoire. Elle fait appel à la créativité (tactique).

Véritable étape dans le parcours thérapeutique, les séances s’adressent aux femmes opérées d’un cancer du sein, dès l’avis favorable de l’oncologue et du chirurgien.

Au FCM escrime, en collaboration avec la ligue d’Alsace d’escrime, on propose une pratique adaptée aux personnes atteintes d’un cancer.

Une personne ayant été opérée d’un cancer du sein et souhaitant se prendre en charge au travers d’une activité adaptée peut venir rejoindre les « filles de d’Artagnan » dans une ambiance conviviale qui l’éloignera de la maladie.

L’escrime apporte à ces femmes, outre le renforcement des capacités à « combattre » la maladie, des effets reconnus sur la posture, la mobilité de l’épaule, la restauration du schéma corporel. L’action proposée est un cycle de 12 séances en groupe restreint (8 à 10 personnes) alternant un enseignement collectif et personnalisé animé par 1 maître d’armes.

Quelques témoignages :

Joëlle : « Libération des émotions, concentration dans les mouvements, légèreté dans l'échange, l'escrime est une discipline qui se partage à tout âge.»

Marie-Laure : « Je suis allée au cours d'escrime pour entretenir la mobilité de mon épaule et j'ai découvert un nouveau sport qui m'a immédiatement emballé. Les séances d'escrime sont devenues un moment attendu avec

impatience, dans une ambiance très conviviale.»

Charlotte : « j’étais toujours très heureuse de me lever le mercredi matin pour aller retrouver Michel, Annie et mes partenaires de combat. Ces deux heures par semaine me permettaient de me concentrer sur autre chose, de m’évader, et de faire retravailler mon cerveau, qui s’était un peu engourdi au cours des traitements.»

Maître d’armes Annie Marpeaux : « Après un premier cycle avec ces femmes qui étaient à des stades différents de la maladie, j'ai senti que nous étions utiles non seulement sur le plan physique grâce aux mouvements qui mobilisent le bras et l'épaule, les exercices pour l'équilibre et la mémoire mais également psychologiquement  car elles reprennent confiance en elle et ainsi se reconstruisent.»


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